A première vue cet homme à l’air d’être un gros bourrin avec ses larges épaules. Vous pensez que s’il vous met une droite votre tête se décrochera de vos épaules.
Mais en réalité Khoda est calme et préfère la simplicité au conflit. Je ne dis pas qu’il ne sait pas se battre, au contraire ! Mais, il ne débutera pas une bagarre.  Il s’est bien se défendre et peux se montrer très agressif quand il est énervé. Vous pouvez le remarquer parce qu’il grince des dents.
Etant contrarié par sa mauvaise maîtrise de l’eau, khoda reste tout de même discret malgré sa carrure importante et laisse ses iris grisâtre observer toutes personnes autour de lui. Il aime analyser les gens, se poser dans un coin et fixer les passants pendant de longues minutes. Il fait pareil également avec les animaux.
Le brun à une grande soif de vivre, toujours dehors, il est plutôt sociable même s’il se sent mieux avec sa solitude et n’hésitera pas à donner un coup de main. Encore plus si c’est un animal. A croire qu’il en ai un lui-même parfois. Souriant, et un peu maladroit sur les bords il sait se montrer sérieux dans certaine situation.
Un défaut aussi, sa curiosité. Il veut toujours tout voir, tout apprendre et c’est pour ça qu’aujourd’hui il est à Republic City à la recherche d’une place au sein de la ville.

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Né un soir de décembre dans un petit village de la tribut de l’eau du Nord, la famille Stayn, des waterbender, appela leur unique enfant Khoda. Un petit garçon aux beaux yeux gris.
Sa mère pris soin de lui comme sa seule étoile tandis que son père , lui, ne le voyait pas du même œil… Ce qu’il voyait, ce n’était qu’un gamin capricieux qui méritait d’être traité comme du bétail.
Lorsque Khoda commençait à grandir, le climat avec son père était très froid et violent. Il se faisait frapper pour un rien et plus les années passaient et plus la violence demeurait sous le toit de la maison. D’abord par le père qui donnait des coups gratuitement au jeune brun jusqu’à ce que celui-ci apprenne à répondre. Jusqu’à ses quatorze ans, des combats violents éclataient entre eux, détruisant tout ce qu’il y avait autour d’eux jusqu’à ce que l’un d’eux finissent à terre mais c’était toujours Khoda, lui qui n’avait pas encore une grande force.
Sa mère réussissait à contrôler leur ébats puis plus le temps passait et plus c’était difficile. Un jour elle avait craqué en voyant Khoda à moitié en sang par terre. Appelant de l’aide au village, des habitants qui n’avait jamais vu cet homme, le mirent dehors par la force sauvant le jeune garçon et sa mère.
Les années qui suivirent étaient plus calme et Khoda appris le métier de la famille Stayn, soigneur de polarbeardog et de tout ces petits animaux ainsi que l’apprentissage de sa maîtrise de l’eau.

─ Alors tu as compris notre histoire Khoda ? Nous sommes des maîtres de l’eau !

─ Quoi !? Tu rigole là M’man ? L’eau c’est pourri moi je veux contrôler le feu !

L’adolescence du jeune Khoda allait être difficile. Toujours dehors à traîner avec sa bande de copains, il refusait d’apprendre la maîtrise de l’eau persuadé qu’il pouvait faire autre chose. Mais la vérité le rattrapa bien vite en voyant ses amis maîtriser l’eau à merveille. Et c’est à contre cœur qu’il se lança dans l’apprentissage familial pour aider à soigner les animaux avec sa mère. Il s’en sortait pas mal aux niveaux des techniques de guérison mais pour le reste… c’était une catastrophe.
Vers ses dix-huit ans, que son groupe d’amis commencèrent à se moquer de lui, le traitant de faible. À l’époque il était plutôt fin et il ne savait rien faire de sa maîtrise si ce n’est que de soigner des animaux.
Alors son caractère changea d’année en année jusqu’à ses vingt-deux ans devenant plus agressifs, les traits masculins lui collant à la peau, son corps se développant mais il gardait toujours ce blocage sur sa maîtrise.
À la fin de ces années, il fit son premier tatouage tout autour de son cou, une partie très sensible, pour renforcer l’image de sa force afin de dissimuler son complexe de sa faiblesse. C’est aussi à cette période là qu’il disparaissaient la nuit lui laissant de nombreuses cicatrices sur son corps, surtout centré dans le dos. Des légendes racontent que dans notre village pour passé à l’âge adulte il faut réussir une épreuve que seuls les enfants connaissent car après nous l’oublions.
Devenant de plus en plus mature et sa curiosité grandissante, il s’intéressa au monde extérieur, notamment par rapport à cette fameuse ville, Republique City.
Il fit ses bagages et quitta le village pour un petit moment afin d’en savoir d’avantage et peut être trouver des choses utiles pour la petite entreprise de sa mère et lui.
Ah il faut qu’il trouve un boulot aussi, oh un toit ou dormir… Oh! A manger aussi ! Ça va être dur la vie tout seul….